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  • Photo du rédacteurThomas

We stand on guard

Dernière mise à jour : 11 mars




  • Résumé :

Nous sommes en 2112 au canada et la famille Roos regarde la télévision en famille. Les Etats Unis d’Amérique viennent de subir une attaque sur la maison blanche et les journaux canadiens retransmettent les images en direct. Nul ne sait qui a lancé cette attaque et tout le monde est captivé jusqu’à ce que des bruits à l’extérieur ne les perturbent : une véritable pluie de missile s’abat sur Ottawa ne leur laissant pas le temps de réagir. Les parents sont tués et seuls Thomas et Ambre ont réussi à s’échapper de ce massacre, que parviendront-ils à faire dans ce pays dévasté ?


  • Critique :

Je vous préviens, je suis en train de rattraper mon retard sur certaines sorties qui me tentaient particulièrement mais que d’autres ont éclipsé. Aujourd’hui nous parlons donc de We stand on guard qui comme beaucoup des oeuvres de Brian K. Vaughan m’a emballé autant qu’elle m’a effrayé. Y le dernier homme, Seigneurs de Bagdad, Saga, Ex Machina et Paper Girls en sont d’excellents exemples. J’ai mis tellement de temps à me lancer dans Y alors même que le pitch me bottait au plus haut point ! Et forcément ça a recommencé au moment de prendre « WSOG ».


A sa sortie j’ai vu pas mal de retours disant que le récit était très moyen et donc loin d’être indispensable. Alors effectivement ça n’est clairement pas un incontournable du comics, le scénario est en revanche très intéressant pour qui aime la science fiction. On assiste à une guerre futuriste où l’eau et les territoires canadiens semblent être les récompenses. Enfin quand je dis guerre je vais peut perte un peu vite en besogne, on assiste surtout à une écrasante avancée des forces américaines équipées d’immenses robots, à peine ralentie par une poignée de Rebels canadiens très mal équipée mais diablement déterminée à faire mal. Dans ce contexte nous suivons Ambre aux prises avec un robot et secourue sur le fil par un groupe de dissidents. La jeune femme est rapidement obligée de faire ses preuves pour rester avec le groupe. A partir de cet instant tout s’enchaine très vite, peut être trop d’ailleurs, car pris dans la lecture on ne se rend pas compte de la fin et on se retrouve directement dans les bonus. Effectivement cela est aussi due à l’intérêt du récit qui est excellent mais aussi à quelques étapes régulièrement sautées.

C’était trop court mais j’ai vraiment aimé ce titre, dans le quel vous pourrez retrouver l’hymne canadien en anglais ainsi qu’en français.


Les planches dessinées par Steve Skroce ont un petit aire de Steve Dillon qui n’est clairement pas pour me déplaire du tout ! Tout au long du récit vous pourrez admirer les magnifiques couvertures qui auraient d’ailleurs toutes été de meilleures choix pour l’édition française. Attention certaines planches sont très sanglantes et ne sont donc pas à mettre entre toutes les mains.


  • Conclusion :

Même si We stand on guard n’est pas la plus grande oeuvre de Brian K. Vaughan, elle n’en rest pas moins très qualitative et vaut son pesant de cacahuètes !


Thomas.


 

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